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Canoë-Kayak Slalom

Palmarès Olympique de l'équipe de canoë-kayak slalom
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Shaun Botterill - Getty
À propos

À propos

Apparu pour la première fois aux Jeux Olympiques à Munich en  1972, le canoë-kayak slalom est un sport aquatique où le rameur évolue grâce à une pagaie, simple ou double, sur un parcours d'eau vive. 

Le kayakiste est assis sur un siège bas au fond du bateau et dispose d'une pagaie double, tandis que le céiste est installé assis sur un "pouf", les genoux au fond du bateau, et utilise une pagaie simple.

Le canoë-kayak devient discipline olympique aux Jeux Olympiques de Berlin en 1936. Dans un premier temps, les épreuves se limitent à celles de la course en ligne. Le slalom apparaît en 1972 aux Jeux de Munich, sur le parcours d'Augsburg (le seul parcours de descente de rivière artificielle en Allemagne), mais il n‘est plus disputé par la suite. Il réapparaît au programme des Jeux de 1992 à Barcelone. Depuis, les courses de slalom ont toujours lieu.

Aux Jeux Olympiques de Tokyo, le canoë monoplace féminin entre au programme, laissant de côté le canoë biplace masculin, qui est sorti du programme après Rio 2016. Cet ajout permet une totale parité dans la discipline. 

Palmarès olympique

Palmarès olympique
2016
drapeau Brésil
Rio de Janeiro
01
00
01
2012
drapeau Grande-Bretagne
Londres
02
00
00
2008
drapeau Chine
Pékin
00
01
00
2004
drapeau Grèce
Athènes
02
00
01
2000
drapeau Australie
Sydney
01
01
01
1996
drapeau États-Unis
Atlanta
01
00
02
1992
drapeau Espagne
Barcelone
00
01
02
1972
drapeau Allemagne
Munich
00
00
01
Épreuves de canoë-kayak slalom

Épreuves de canoë-kayak slalom

A Tokyo, 41 hommes et 41 femmes participeront aux à leur course respective de canoé-kayak slalom. Celles-ci débuteront par deux manches de qualification au meilleur des deux temps qui seront suivies par une demi-finale à 15 en canoë, à 20 en kayak. Une finale à 10 permet d'établir le classement final. 

L'enjeu consiste à parcourir le plus rapidement possible un parcours en eau vive d’environ 400 m en respectant des passages obligés matérialisés par des portes (de 18 à 25) à descendre vers l’aval (portes vertes) ou à remonter vers l’amont (portes rouges). Les portes touchées ou non franchies comptent des pénalités qui s’ajoutent au temps (2 secondes pour une touche, 50 secondes pour une porte manquée). La victoire est attribuée au plus petit temps comptabilisé à l'issue de la finale.

 


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