BLAISE
GIEZENDANNER

Originaire de la vallée de Chamonix où son père Eric est courtier en assurances, Blaise Giezendanner a connu la fièvre olympique à PyeongChang 2018 où il a terminé à la 4e place du super G, à seulement vingt centièmes de la médaille de bronze. Après avoir grandi au pied de la Verte des Houches, Blaise Giezendanner a vite intégré le club des sports démontrant une certaine aptitude dans les disciplines de vitesse. Il s’est révélé sur le plan international en remportant la médaille d’or de l’Universiade d’hiver 2013 en Super G ainsi que l’argent en descente.

Auparavant, il avait évolué sur le circuit de la Coupe d’Europe avec un premier top 20 en 2012, à la Thuile de l’autre côté du tunnel du mont Blanc, avant d’atteindre le podium à Val d’Isère en 2015 avec une 2e place en descente.

En Coupe du monde, il effectue ses premiers pas en 2013, avant d’inscrire ses premiers points en 2015 avec une 27e place à Saalbach. Quelques mois plus tard, en Corée, sur la piste olympique de Jeongson, il finit pour la première fois parmi les dix premiers avec une 8e place. Blessé au genou droit en septembre 2017, il parvient à revenir quatre mois plus tard pour obtenir sa qualification aux Jeux. Il connaît quelques problèmes physiques par la suite et ne parvient pas à retrouver les sommets avant 2021 où il finit 9e en Super G à Kitzbuhel en janvier et à Bormio en décembre. En janvier 2022, lors de la descente de Kitzbühel, il atteint son premier podium en Coupe du monde, en prenant la 3e place derrière Kilde et Clarey.